Vos avis, vos questions et les réponses des maîtres d'ouvrage
36
Avis
4 septembre 2025
Bernot
Réponse :
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53
Avis
28 juillet 2025
Guise
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52
Question
28 juillet 2025
Ribemont - Lucy
Réponse :
La phrase « Nous travaillons en étroite collaboration avec les services de l’État, les bureaux d’études, les fournisseurs de technologies et les experts techniques pour concevoir une installation industrielle parfaitement conforme aux règles de sécurité et de maîtrise des risques » signifie que nous échangeons avec de nombreux acteurs de tous horizons dans le cadre du projet, afin de garantir sa conformité avec l’ensemble des règles en vigueur.
Nous avons réalisé des premières études (faisabilité) qui ne permettent pas de répondre à toutes les questions du public ni de d’alimenter nos demandes de permis. De nouvelles études plus approfondies, permettant notemment la préparation des permis, restent à mener : ces études complémentaires ne sont pas encore lancées
51
Avis
28 juillet 2025
Saint-Quentin (02100)
Réponse :
50
Avis
29 juillet 2025
Parpeville
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49
Question
1 août 2025
02240
Réponse :
48
Avis
1 août 2025
Parpeville
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47
Question
1 août 2025
MONT D ORIGNY
Réponse :
46
Question
1 août 2025
MONT D ORIGNY
Réponse :
45
Question
1 août 2025
MONT D ORIGNY
Réponse :
54
Question
3 septembre 2025
MONT D ORIGNY
Réponse :
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44
Question
3 septembre 2025
MONT D ORIGNY
Réponse :
Les effets du projet sur l’environnement, ainsi que les moyens d’évitement/réduction/compensation, seront étudiés dans le cadre de l’étude d’impact.
Ces études ne sont pas encore faites, et nous ne sommes pas encore en mesure de répondre à votre question. Il est important de noter que l’usine respectera la réglementation de manière générale et notamment en matière de rejets en tout genre.
43
Question
3 septembre 2025
Saint Quentin
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42
Question
3 septembre 2025
Sissy
Réponse :
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41
Question
3 septembre 2025
Saint Quentin
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40
Avis
3 septembre 2025
Origny sainte Benoite
Réponse :
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39
Question
3 septembre 2025
02240
Réponse :
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38
Question
3 septembre 2025
Ribemont/Lucy
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37
Question
4 septembre 2025
02240 Sissy
Réponse :
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35
Question
22 juillet 2025
Saint Quentin
Réponse :
34
Question
22 juillet 2025
Saint quentin
Réponse :
À ce stade du projet, les financements ne sont pas encore finalisés car nous sommes toujours dans la phase d’études et d’autorisations. Cependant, dans le cadre d’un projet avec un montant d’investissement significatif, des garanties financières solides seront exigées par les banques : assurances, mécanismes de contrôle, contractualisation avec les futurs clients ou fournisseurs… Ces dispositifs seront mis en place avant tout engagement définitif de construction.
Nous échangeons d’ores et déjà avec de multiples potentiels partenaires financiers qui manifestent leur intérêt pour le projet.
Enfin, un suivi financier étroit est prévu, comme pour tout projet de cette envergure. Il inclura des audits, des reportings réguliers, et une gouvernance rigoureuse. Le projet sera également soumis aux contrôles prévus par les autorités compétentes dans le cadre des procédures réglementaires.
Nous espérons que ces éléments vous apporteront des clarifications utiles.
33
Question
22 juillet 2025
Ribemont
Réponse :
Hydrogène : l’hydrogène produit sera consommé immédiatement dans le processus de synthèse de l’e-méthanol. Il n’y aura donc pas de stockage significatif d’hydrogène sur site.
Méthanol : là aussi, la production est principalement destinée à être expédiée régulièrement, avec un stockage tampon limité, correspondant à quelques jours de production tout au plus.
Des alcools secondaires peuvent être générés en petites quantités au cours du processus. Certains d’entre eux seront valorisés sur place, par exemple pour produire de la chaleur nécessaire à l’usine, et d’autres pourront être exportés pour valorisation externe. Les volumes restent faibles par rapport au méthanol.
L’inventaire des produits sur site sera réalisé dans le cadre de la demande des permis.
32
Avis
22 juillet 2025
ribemont-Lucy
Réponse :
31
Avis
17 juillet 2025
Parpeville
Réponse :
Le financement repose sur des fonds privés : apports en fonds propres et dette bancaire. Le recours à des subventions publiques est une option, mais non un pilier du montage financier. Si elles sont sollicitées, ce sera dans un cadre encadré et sélectif, en lien avec les objectifs de transition énergétique fixés par l’État et l’Europe. A date, le projet ne bénéficie d’aucune subventions.
L’impact économique du projet va au-delà des seuls emplois directs (estimés à 130 en phase d’exploitation) : il intègre les emplois indirects (études, BTP, sous-traitance, logistique…), les emplois induits et les retombées fiscales locales.
De plus les emplois ne seront pas que des emplois hautement qualifiés, le niveau d’études des différents emplois nécessaire au fonctionnement d’une usine comme celle-ci varie de manière importante.
30
Question
17 juillet 2025
Saint Quentin
Réponse :
29
Question
17 juillet 2025
Saint-Quentin
Réponse :
28
Avis
17 juillet 2025
Saint-Quentin
Réponse :
27
Question
17 juillet 2025
Saint-Quentin
Réponse :
26
Question
17 juillet 2025
Saint-Quentin
Réponse :
25
Avis
10 juillet 2025
Saint-Quentin
Réponse :
Pour minimiser l’impact visuel et environnemental du projet, il est possible d’intégrer des mesures spécifiques, telles qu’une conception paysagère soignée favorisant l’intégration harmonieuse dans le site ou des aménagements verts pour préserver la qualité visuelle et la biodiversité. Pour rappel l’Eurovélo 3 passe déjà à Origny-Sainte-Benoite à proximité immédiate de l’usine Tereos.
24
Avis
10 juillet 2025
Saint-Quentin
Réponse :
23
Question
10 juillet 2025
SAINT-QUENTIN
Réponse :
L’électricité utilisée sera bas carbone (nucléaire) ou renouvelable. L’usine sera connectée au réseau de transport d’électricité de RTE, et l’électricité utilisée pourra provenir soit du mix électrique français (majoritairement nucléaire et renouvelable), soit de contrats spécifiques appelés PPA (Power Purchase Agreements), qui garantissent une origine 100 % renouvelable de l’électricité.
Est-elle intégralement renouvelable, en tout temps ?
Non.
Existe-t-il un risque que ce projet capte une part importante de l’électricité renouvelable disponible, au détriment d’autres usages (logement, hôpitaux, mobilité électrique, etc.) ?
Les règles de production d’hydrogène renouvelable sont conçues pour que les nouveaux usages de l’hydrogène ne se fassent pas au détriment des utilisateurs existants. Cela est prévu par le régulateur européen dans les critères de définition de l’hydrogène renouvelable (RFNBO — Renewable Fuels of Non-Biological Origin) : un électrolyseur revendiquant une production d’H₂ renouvelable doit être mis en service au plus tard 36 mois après la mise en service des centrales de production d’énergie renouvelable qui l’alimenteraient.
Le projet bénéficie-t-il de subventions publiques ? Si oui, à quelle hauteur, et selon quels engagements de rentabilité ou de retour pour les collectivités ?
Non.
Quelles garanties existent pour que les retombées économiques profitent réellement au territoire local (emplois durables, sous-traitance locale, fiscalité) ?
Le projet OrCHyDé devrait générer 120 à 130 emplois directs et indirects en phase opérationnelle. En phase chantier (3 ans), le projet nécessitera environ 400 travailleurs/jour, avec des pics à 700 travailleurs/jour pendant certaines périodes.
Comme expliqué en réunion de clôture, nous avons pris les engagements suivants :
En phase chantier :
– Favoriser les entreprises locales dans le déroulement du chantier, en collaboration avec la Chambre de commerce et d’industrie de l’Aisne
– Créer un guide pour promouvoir les services locaux, mis à disposition de tous les intervenants sur le projet
– Mettre en œuvre une clause d’insertion pour les contrats qui s’y prêtent
En phase d’exploitation :
– Recruter des profils locaux pour l’exploitation du site
– Conclure des contrats de long terme avec des entreprises locales pour la maintenance programmée
Concernant les taxes, nous estimons que le projet devrait générer des retombées économiques locales via des taxes, entre 300 000 € et 900 000 € annuellement. Il revient aux collectivités de décider de l’utilisation des taxes perçues.
Quel est le bilan carbone complet du projet, incluant la fabrication des électrolyseurs, l’extraction des matériaux rares, et les infrastructures de transport de l’hydrogène ?
Le bilan carbone complet du projet n’a pas encore été réalisé.
Y a-t-il un risque pour la ressource en eau, notamment en période de sécheresse ?
À l’état actuel de nos connaissances, le projet devrait générer une consommation d’eau inférieure à 2 % du débit d’étiage — c’est-à-dire lorsque le niveau du cours d’eau est au plus bas — ce qui semble compatible avec la ressource en eau du territoire. Cela devra être confirmé lors des études futures.
Durant les périodes de sécheresse, la préfecture peut imposer des mesures pour économiser l’eau. Les unités comme celle du projet OrCHyDé devront respecter les restrictions d’usage, pouvant aller jusqu’à l’arrêt si nécessaire, afin de ne pas concurrencer les besoins essentiels.
Le site d’implantation menace-t-il des zones écologiques sensibles ou agricoles ?
Il n’y a à ce jour pas de zones écologiques sensibles identifiées à l’endroit envisagé pour le projet. Le terrain prévu pour l’implantation est actuellement cultivé. Le choix de l’implantation tiendra compte des enjeux environnementaux. Les effets du projet sur l’environnement, ainsi que les moyens d’évitement, de réduction ou de compensation, seront étudiés dans le cadre de l’étude d’impact, qui n’est pas encore réalisée.
Comment seront assurés le stockage, la sécurité et le transport de l’hydrogène, substance hautement inflammable ?
Le projet prévoit bien une production d’hydrogène, mais celui-ci sera immédiatement combiné au CO₂ biogénique pour produire du e-méthanol. Il n’y aura donc pas, à proprement parler, de stockage d’hydrogène, uniquement un stockage tampon.
Quelle est la durée de vie des installations, et que prévoit-on pour leur démantèlement ou leur recyclage ?
La durée de vie du projet est estimée à 25 ans. À l’issue de cette période, plusieurs options seront possibles : un prolongement du projet ou un démantèlement, ainsi qu’une remise en état du site. Les frais de démantèlement de l’usine ont bien été provisionnés dans le budget du projet.
22
Question
10 juillet 2025
Ribemont
Réponse :
Ce point n’est ni ignoré ni minimisé : le projet OrCHyDé intégrera un bilan carbone complet sur l’ensemble du cycle de vie, de la construction au démantèlement, conformément aux exigences réglementaires.
Le démantèlement du site n’a pas été pris en compte dans le bilan carbone préliminaire.
Le bilan carbone préliminaire prend en compte l’empreinte carbone :
– des intrants en opération dont l’énergie
– du transport des produits et des intrants
Cette empreinte carbone est comparée avec l’utilisation du fioul lourd à la hauteur remplacée.
Cela dit, le cœur du projet est justement de produire des carburants bas-carbone (e-méthanol) permettant de remplacer des combustibles fossiles importés et fortement émetteurs. Le gain environnemental se mesure donc sur le long terme, en comparant ce que le projet évite en émissions par an pendant toute sa durée de vie (plusieurs dizaines d’années), face à son impact initial de construction.
Enfin, une attention particulière sera portée à la sobriété des aménagements, au choix des matériaux, à la logistique optimisée…
Le bilan carbone sera réalisé dans le cadre du dossier de demande d’autorisation environnementale.
21
Question
10 juillet 2025
02240
Réponse :
Le fuseau de moindre impact a été définit : c’est une zone encore relativement large (parfois plus de 1km de large) dans laquelle devrait cheminer la ligne. Le tracé exacte qui sera définis au sein du fuseau de moindre impact n’a toutefois pas encore été définis. Le Fuseau de Moindre Impact est disponible sur le site dans l’onglet “Documents”, il est validé depuis peu.
20
Question
10 juillet 2025
Ribemont
Réponse :
L’organisation des allers-retours fera l’objet d’une coordination étroite avec les acteurs concernés notamment le gestionnaire de l’infrastructure et les autres usagers de la ligne, afin de garantir une circulation fluide, sécurisée et compatible avec les autres usages existants sur cette ligne. Nous n’avons pour le moment pas encore choisis les prestataires avec qui nous travaillerons pour le transport du MeOH et du CO2 le cas échéant. Nous n’avons pas encore étudié en détail la logistique ferroviaire.
19
Avis
10 juillet 2025
Saint-Quentin
Réponse :
L’hydrogène sera consommé sur place dans le cadre du procédé de fabrication du méthanol et ne sera pas transporté vers le Havre. L’exemple d’AZF a profondément marqué la France, et a contribué à renforcer les exigences légales en matière de sécurité industrielle. Le projet s’y conformera scrupuleusement.
18
Question
9 juillet 2025
Ribemont
Réponse :
17
Question
9 juillet 2025
Saint-Quentin
Réponse :
Nous vous remercions pour votre contribution.
Une réponse à votre question est en cours de préparation.
16
Question
2 juillet 2025
Saint-Quentin
Réponse :
Ce sujet fait partie des enjeux abordés dans le cadre des études d’impact et des échanges avec les services de l’État, notamment en lien avec l’archéologie préventive et le respect du patrimoine. Si des éléments sensibles devaient être identifiés, des mesures adaptées seraient mises en œuvre en lien avec les autorités compétentes.
Le projet OrCHyDé s’inscrit dans une volonté de respect du territoire et de sa mémoire
15
Question
2 juillet 2025
Saint-Quentin
Réponse :
La gestion de l’eau en France est organisée en plusieurs niveaux : les bassins hydrographiques, gérés par des Comités de Bassin, élaborent les SDAGE (Schéma Directeur d’Aménagement et de Gestion des Eaux). Les Agences de l’Eau financent des projets de protection des milieux aquatiques. Les SAGE (Schéma d’Aménagement de Gestion des Eaux), déclinent les SDAGE localement. Les EPTB (Établissement Public Territorial de Bassin) facilitent la gestion intégrée de l’eau à l’échelle des bassins versants. Il n’existe pas à notre connaissance une étude comme vous la décrivez mais cependant les futurs SDAGE et EPTB prendront en compte l’ensemble des usages et des futurs usages pour définir si le projet pourrait prélever l’eau nécessaire à son fonctionnement.
14
Question
2 juillet 2025
02240
Réponse :
13
Question
27 juin 2025
Ribemont
Réponse :
Ces études ne sont actuellement pas encore faites. Nous ne pouvons pour le moment pas répondre à votre question.
Lors de la phase chantier, le trafic de camions sera effectivement accru. Les itinéraires de déviations ne sont pas encore définies. Un travail de planification et de coordination avec les autorités locales sera réalisé afin d’anticiper au mieux l’impact du chantier sur la circulation et les moyens pour remédier à cet accroissement de trafic.
12
Question
27 juin 2025
02240
Réponse :
11
Question
25 juin 2025
Saint-Quentin
Réponse :
Ce sujet fait partie des enjeux abordés dans le cadre des études d’impact et des échanges avec les services de l’État, notamment en lien avec l’archéologie préventive et le respect du patrimoine. Si des éléments sensibles devaient être identifiés, des mesures adaptées seraient mises en œuvre en lien avec les autorités compétentes.
Le projet OrCHyDé s’inscrit dans une volonté de respect du territoire et de sa mémoire.
10
Question
25 juin 2025
FEDERATION REGIONALE FRANCE NATURE ENVIRONNEMENT HAUTS DE FRANCE LILLE ET AMIENS
Réponse :
Concernant les pièces de rechange, la logique ne reposera pas uniquement sur des flux tendus : les éléments critiques feront l’objet de stocks, en cohérence avec la durée de vie des équipements et les délais d’approvisionnement.
9
Question
19 juin 2025
Ribemont
Réponse :
8
Avis
23 juin 2025
Origny sainte benoite
Réponse :
En étant au plus près de cette source, le projet évite une partie du transport du CO₂, réduit son empreinte carbone et s’inscrit dans une logique d’intégration industrielle locale.
7
Question
23 juin 2025
Ribemont
Réponse :
La durée de vie envisagée pour l’unité de production de e-méthanol est de 25 ans. Comme pour tout site industriel, le démantèlement est anticipé dès la phase de conception du projet afin d’en limiter les impacts environnementaux et d’assurer la remise en état du site à la fin de l’exploitation.
Le coût du démantèlement fera l’objet d’une évaluation détaillée par la suite. Ce coût dépendra des équipements installés, des éventuelles infrastructures à démolir et des normes en vigueur au moment du démantèlement.
Ce coût fera l’objet d’une provision dédiée, intégrée dans le plan de financement du projet. Cette provision permettra de garantir que les moyens nécessaires seront bien disponibles au moment de la mise à l’arrêt définitive de l’installation.
6
Question
23 juin 2025
Ribemont
Réponse :

Source : https://eurovelo3.fr/eurovelo3/vallee-de-loise/guise-ribemont/
5
Question
23 juin 2025
Saint Quentin
Réponse :
Le rapport de la Cour des Comptes (publié en 2024 sur l’hydrogène décarboné) critique principalement la stratégie nationale dans son ensemble, pas les projets individuels. Ses constats portent sur :
– un objectif de 6,5 GW d’électrolyse à 2030 jugé trop ambitieux au regard des délais industriels réels ;
– une dispersion des aides et un manque de priorisation entre les usages (industrie, mobilité, carburants) ;
– des coûts publics élevés, parfois mal corrélés à la performance environnementale ou à l’effet de levier privé.
Cependant, cela n’entraîne pas l’arrêt des projets en cours. Au contraire :
– l’État continue de soutenir des projets à travers les appels à projets PIIEC, IPCEI ou France 2030, en les sélectionnant au cas par cas selon leur crédibilité technique, leur impact territorial et leur compatibilité avec les objectifs européens (Fit-for-55, ReFuelEU Aviation, etc.) ;
– un projet comme OrCHyDé, s’il s’appuie sur des ressources locales (CO₂ biogénique, électricité décarbonée, accès logistique), peut répondre à ces critères même si les trajectoires nationales doivent être ajustées.
En d’autres termes, les critiques de la Cour n’interdisent pas la poursuite des projets pertinents, mais appellent à mieux les cibler et à les ancrer dans des logiques industrielles réalistes.
4
Question
20 juin 2025
FRANCE NATURE ENVIRONNEMENT HAUTS DE FRANCE LILLE ET AMIENS
Réponse :
Les tornades dépassent souvent les charges de dimensionnement classiques. Elles sont classées sur l’échelle EF (Enhanced Fujita), avec des vitesses de vent pouvant excéder 200 à 300 km/h (EF2 à EF3).
Ces événements restent statistiquement rares en France métropolitaine et ne sont pas toujours intégrés au dimensionnement standard, mais peuvent faire l’objet :
– d’études de risques spécifiques, notamment en zone à historique d’orages tournants ;
– de renforcements localisés : fondations profondes, pylônes type anti-cascade, treillis plus denses.
3
Avis
20 juin 2025
Bernot
Réponse :
Par ailleurs, le cadre réglementaire européen, avec des textes comme FuelEU Maritime, oriente structurellement le transport maritime vers des carburants bas-carbone, renforçant les perspectives de développement du méthanol renouvelable.
Enfin, le risque de friche industrielle est très limité grâce à une sécurisation des débouchés pendant la phase de développement du projet.
2
Question
19 juin 2025
02240
Réponse :
1
Question
19 juin 2025
Ribemont02
Réponse :
La capture de CO2 ne génère pas de rejet atmosphérique. La production d’hydrogène par électrolyse de l’eau ne génère pas de gaz nocifs ou à effet de serre. Elle produit uniquement de l’hydrogène et de l’oxygène. Une valorisation de l’oxygène auprès d’industriels locaux sera étudiée. Si celle-ci s’avère inenvisageable, ce gaz sera rejeté dans l’atmosphère. L’hydrogène lui, sera utilisé pour la suite du processus et donc non relâché. La production d’e-méthanol génère différents gaz en quantité faible (alcool, méthanol, azote…) qui seront passés dans un oxydeur thermique pour en faire du CO2 (voir le diagramme des flux en 3.1). Il y aura donc un rejet minime de CO2 dans l’atmosphère lors de la production d’e-méthanol. Il est a noter que comme le seul carbone qui rentre dans l’installation est biogénique, celui qui sort est aussi du carbone biogénique même si celui-ci aura subi plusieurs transformations intermédiaires. Ce rejet représente donc une perte de rendement sur la capture du CO2 biogénique et non une émission d’un nouveau CO2 fossile. Ainsi, le seul rejet majeur de l’installation est de l’oxygène.